Vierge-Marie / Myriam-la-Colombe


Vierge-Marie / Myriam-la-Colombe


Vendredi 07 juillet 2023

SOMMAIRE
Pourquoi cette page
Le nom de Marie
L’enfance de Myriam-la-Colombe
Myriam et Joseph
La virginité de Myriam-la-Colombe
La signification du nom « Myriam »
« Vierge-Marie » et virginité
Mère-divine, Myriam, Père-divin, Joshua
Pages liées
Réseaux sociaux
Notes

Pourquoi cette page


Cette page à l’origine, est le texte lié à l’entrée « Myriam-la-Colombe » d’un dictionnaire qui verra peut-être le jour plus tard, sans aucune promesse !

L’ayant trouvé intéressant, j’ai d’abord envisagé d’en faire un article sur le blog « Les fleurs de l’Esprit ». Mais d’une part, il s’est révélé trop long pour ce format, et d’autre part, les informations qui y sont révélées sont très importantes et engage l’humanité pour les millénaires à venir. De ce fait, il en devient une page ce qui le rend facilement accessible en permanence.

Myriam-la-Colombe est bien la Vierge-Marie. Mais alors pourquoi cette appellation ? Quelle a été sa vie d’enfant qui l’a amenée à être l’épouse de Joseph et la mère de Jésus, selon les Annales akashiques[1] ?

Le nom de Marie


« Myriam » était un nom très courant dans la société juive du temps de la naissance du Maître Joshua, comme aujourd’hui le nom « Marie ». Ainsi, celle qui est devenue l’épouse de Joseph[2] s’appelait Myriam, tout comme celle qui est devenue l’épouse du Maître, Myriam-de-Magdala[3].

Afin de différencier les différentes Myriam que le Maître a connues, j’appelle la Vierge-Marie : « Myriam-la-Colombe ». Elle est sa mère biologique. Les âmes de Joshua[4] et de Myriam-la-Colombe sont flammes jumelles.

L’enfance de Myriam-la-Colombe


Par sa beauté et sa pureté de cœur, elle a été choisie pour être la Colombe des esséniens lors de sa septième année[5], chargée d’entretenir le feu du temple de Feu, essénien, proche de Jérusalem, où sont accueillies les filles-enfants pour celles qui en montrent les aptitudes à étudier, sous l’autorité des sages des temples d’Héliopolis en Égypte[6]. Elle a tenu ce rôle jusqu’à qu’elle ait ses premières règles, dans sa treizième année[7].

Cette fonction, lui a donné le statu de Colombe des esséniens.

Myriam et Joseph


À la suite de quoi elle a été promise à Joseph, veuf d’une première épouse, la sœur aînée de Myriam, selon la loi juive en vigueur à ce moment-là.

Joseph est père d’au moins deux fils alors plus âgés que Myriam. Il a donc plus de vingt ans de plus qu’elle.

Joseph est un prêtre essénien ayant une place élevée dans la hiérarchie essénienne. Notamment, il a la fonction d’architecte avec toutes les connaissances liées aux mathématiques sacrées dont le nombre d’or Phi. Il en a été charpentier. C’est pourquoi « on » en a fait un charretier !

La virginité de Myriam-la-Colombe


Effectivement, elle est vierge au moment de la visite de l’Archange Gabriel[8]. Elle n’a guère plus de 13 ou 14 ans. Ainsi, elle a enfanté Joshua alors qu’elle n’a que 14 ou 15 ans. Elle est une toute jeune fille, d’une beauté extraordinaire, de par sa maturité intérieure exceptionnelle et sa toute grande jeunesse.

Joshua, suite à la demande divine, est né par l’Initiation majeure de l’Immaculée-conception sous la supervision des Maîtres d’Héliopolis, avec Joseph et Myriam. Suite à quoi ils ont eu un premier rapport sexuel.

La signification du nom « Myriam »


Le nom « Myriam » en hébreux est construit à partir de « Im » les eaux d’en haut, et « Am » les eaux d’en bas. Myriam est celle qui unit les eaux d’en bas avec les eaux d’en haut, par force d’autorité en la tête.

Il est regrettable que dans le nom de Marie, le « Im » ait disparu, lui retirant sa signification divine.

« Vierge-Marie » et virginité


À ses très nombreuses apparitions qui continuent toujours, la Vierge-Marie se présente sous ce vocable pour se mettre en lien avec la culture et le chemin « religio-spirituel » des êtres humains. Cependant qu’elle n’apprécie pas trop cette manière d’être appelée. Car elle n’est plus vierge au moment de la naissance de Joshua. Nous ne connaissons pas son nom actuel.

Et puis, la virginité n’est en rien un gage de sainteté. Et de nombreux saints dans le monde, quelle que soit la religion, ne sont pas vierges. La sexualité est sacrée[9]. Elle permet la création[10].

Mère-divine, Myriam, Père-divin, Joshua


Myriam-la-Colombe est la représentante de Mère-divine dans notre sphère de vie, sur Terre et les mondes de l’Au-delà auxquels nous sommes liés. Mais elle n’est pas cette Mère-divine. Il en va de même pour le Maître Sananda-Joshua qui est le représentant du Père-divin. Mais l’un et l’autre ne sont pas Dieu. Ils sont des entités qui ont été humaines et qui ont une évolution spirituelle extrêmement avancée en comparaison avec la nôtre.

Par extension, puisque Myriam est la représentante de Mère-divine pour notre monde, notamment le monde de culture chrétienne, il est correct de prier Mère-divine en s’adressant à elle. Myriam est aussi en lien avec Universelle[11], Shakti[12], la matrice divine. Elle est en lien avec l’énergie créative dans son aspect féminin, et par conséquent, avec l’énergie sexuelle dont elle a superbement montré la maîtrise durant son incarnation.

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Notes


[1] Confère Anne Givaudan et Daniel Meurois, et notamment « Le livre secret de Jeshua » de Daniel Meurois aux éditions « Le Passe-Monde ». L’Akasha est la forme la plus subtile de l’éther et du prâna, en lien avec le septième chakra, le coronal. Cet Akasha qui imprègne notre monde et tous les mondes, jusqu’à la plus infime particule, agit comme une plaque sensible et enregistre la totalité de tout ce qui est vécu, y compris la totalité de tous les ressentis et de toutes les pensées. Cet enregistrement se conserve éternellement. Il est désigné comme « les annales akashiques ». Le consulter, permet de revivre, mais sans l’influencer, ce qui s’est passé. Daniel Meurois qui a ce don, très encadré par des entités qui protègent ces annales de toutes leurs utilisations malveillantes, a ainsi pu revivre la totalité de la vie de celui qui est appelé aujourd’hui, Jésus.
[2] Yussef
[3] Marie-Madeleine
[4] Aujourd’hui Sananda, membre du collège de Shambhala.
[5] Ses six ans
[6] En ce Temple, ou plutôt un couvent, était enseigné l’art de soigner selon les principes esséniens (voir Daniel Meurois et Anne Givaudan), ainsi que l’art des simples, des onguents et des huiles essentielles. Myriam de Magdala y a séjourné, qu’elle a fini sa vie à la Sainte Baume d’où le nom de Sainte Baume et le fait que la Provence soit devenue la capitale mondiale des huiles essentielles.
[7] Ses douze ans
[8] Lc 1 : 26-38
[9]Voir la page : « La sexualité sacrée », https://www.lesfleursdelesprit.net/p/la-sexualite-sacree.html
[10] Car c’est par la sexualité que nous sommes venus, et c’est par la jouissance orgasmique que Dieu crée. L’énergie sexuelle est le moteur créatif du monde.
[11] Le nom « Universelle » est un nom propre féminin que j’ai créé à partir de l’adjectif « universel » mis au féminin.
En fait, il est de bon ton de parler de l’univers, avec ou non un grand « U ». Le nom « univers » désigne tout notre environnement jusqu’au fin fond du cosmos. Avec notre habitude de penser que nous sommes seuls au monde, et qu’il n’existe rien d’autre de ce que nous pouvons percevoir avec nos cinq sens et nos instruments matériels, aussi sensibles puissent-ils être, puisque nous sortons du patriarcat et notre fâcheuse façon de penser au masculin, reléguant le féminin comme une sous-catégorie, le mot « univers » est du masculin.
Il n’est pourtant pas le père. Tout au contraire, l’univers est la matrice qui nous permet de vivre et d’évoluer. Il devrait être appelé d’un mot féminin. Il est la mère.
Et puis notre univers ne se limite pas à notre monde, notre niveau vibratoire. Ceci est facilement compréhensible en étudiant une radio. Alors que dans l’air qui nous entoure, il peut y avoir plusieurs dizaines de programmes radios et télévisuels et autres, nous pouvons entendre et visualiser l’un d’eux avec un instrument appelé « radio » ou « téléviseur ». Le cerveau humain n’est qu’une interface syntonisée sur la longueur d’onde de base de notre monde. C’est pourquoi nous ne percevons que ce monde. Certains peuvent se syntoniser sur d’autres longueurs d’onde, par conséquent, ils perçoivent d’autres mondes, notamment les mondes de l’après-vie. Ce sont les médiums, les clairsentants, les clairvoyants, etc.
Ainsi, l’Universelle inclut tous les mondes, le nôtre, et aussi tous les niveaux de vibration. Elle est la matrice, donc la Mère, de toute la création, de la vie avec un petit « v » à la Vie avec un grand « V ». Elle est le côté féminin de Dieu, le Créateur.
Universelle est l’un des aspects de Mère-divine, et réciproquement.
En tant que matrice de la Mère-divine, Elle est extrêmement puissante. Dotée de l’Esprit de Dieu, Elle En a tous les attributs cognitifs. Son énergie est la Shakti.
Comme Universelle est la Matrice, son nom est du féminin.
[12] La Shakti est l’énergie subtile qui est dans tout être humain ou animal et qui lui permet de vivre. Elle est la force vitale.
La Shakti est faite essentiellement de prâna.
Elle est tout ce qui dépend de la sphère matérielle, la force du souffle, la force éthérique, et sur les plans supérieurs, la force aurique.
Elle est souvent confondue avec la Kundalini. Et sous d’autres noms, Elle est présente dans diverses traditions, comme le Qi, le Xi, le Chi, … que connaissent bien les acupuncteurs.
Traditionnellement, elle est la Mère-divine en sanscrit, la Force-divine.
Elle est l’essence des cinq éléments, la terre, l’eau, le feu, l’air et l’éther – dans le sens ascendant des cinq premiers chakras.
Elle est la Force-divine primordiale, la forme primaire de l’énergie, préexistante à l’univers et à la vie. Elle est le moteur de l’univers. Elle est la vibration divine, la Force fantastique, indescriptible, dont tout l’univers émane d’Elle. Elle est l’Universelle.
Cette puissance primordiale est aussi appelée « Adi Para Shakti », l’énergie suprême primordiale, ainsi que « Om Shakti ».
L’énergie sexuelle est faite de Shakti et de Kundalinî. C’est par la sexualité que la vie est maintenue et se développe. La Shakti est la Force à l’origine de toute création. Sublimer l’énergie sexuelle par un orgasme de recharge au lieu de la gaspiller par un orgasme de décharge, permet d’augmenter sa puissance créative.
Shakti est à l’origine de tous les concepts qui existent dans le monde, et réciproquement, tous ces concepts contiennent la Shakti. Elle est toute chose et Elle peut tout faire pour nous.
Adorer Shakti, et nous n’avons plus à avoir peur de rien, et à nous soucier de quoi que ce soit. Elle est la Mère aimante, accomplissant ses fonctions maternelles, voire mieux encore que la meilleure des mères humaines.
Il est bon d’adorer le monde entier, la Terre Gaïa, quelle que soit la forme de l’adoration, en La servant, car Gaïa est Une de ses nombreuses manifestations.
Shakti est Durgâ, l’inaccessible, autre nom de l’épouse de Shiva, Elle est son énergie divine. Durgâ est l’aspect de la Mère-divine sous sa forme féroce qui terrasse les démons. « Kâlî » est l’autre nom de Durgâ. Parvati est aussi un autre nom de l’épouse de Shiva.
Car Shakti est aussi l’épouse de Shiva, ou plus exactement, l’un de ses aspects féminins. Le couple Shiva-Shakti est représenté par l’union du lingam et du yoni.
Shakti est la conscience, l’intelligence, la connaissance, ainsi que la beauté suprême, la parfaite compassion, la gloire divine, la magnificence, les splendeurs infinies, le pouvoir de Dieu.

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Shani Elijah

Ma photo
Depuis mon enfance, j’ai pris l’habitude de me remettre en question et de lâcher prise. Autodidacte, toutes mes connaissances et mes réussites font suite à un profond travail sur moi-même. Ma quête : la Maîtrise. Enfant boule parce que différent des autres, je suis un souffre-douleur. Après quatre décennies d’errances affectives avec tous les problèmes et les perversions que cela implique, deux divorces, des échecs professionnels retentissants, des réussites tout aussi valorisantes, un chemin chaotique, je suis riche d’une large palette d’expériences. La Vie m’a aidé à me remettre en question ce qui me confère une certaine ouverture d’esprit, une conscience originale de la réalité, une vision construite du futur, le discernement. Ne me contentant pas des insuffisances et des contradictions des religions, je découvre la réalité cachée, tant sur le plan religieux que sur celui de la réalité sociale et économique de notre monde. Passionné par la découverte du Soi, je cherche l’essentiel. N’appartenant à aucune religion ni mouvement spirituel, je défends la laïcité. Anticonformiste, mes opinions vont à l’encontre de l’évidence communément admise.