Prier par Maître Joshua
Dimanche 13 mai 2018
Mises à jour :
jeudi 8 octobre 2020
mardi 25 mai 2021
SOMMAIRE
Enseignement de Joshua
Le pouvoir des divinités
La prière pétrifiée
L’énergie de la prière
Les mantras
La lettre vivante
Quelques mots sur cette catégorie « Prières »
Le partage de la Vie
Comment prier
Pages liées
Enseignement de Joshua
Le Maître Joshua aujourd’hui Maître Sananda, lors de son ministère il y a deux millénaires, nous demandait vivement de ne pas pétrifier les écrits. Il avait alors une claire vision de ce qu’allait devenir ses enseignements durant ces siècles d’obscurantisme qui venaient. C’était la raison pour laquelle il n’écrivait rien alors qu’il était un lettré. Il parlait et écrivait plusieurs langues dont l’hébreu, l’araméen, le grec et le latin, entre autres1.
Le pouvoir des divinités
Jamais aucune statue n’a eu de pouvoir en elle-même. Si pouvoir il y a, c’est uniquement l’entité, l’Esprit, qu’elle représente. Une statue n’a de fonction que de nous rappeler ce que nous devons devenir, qui nous sommes vraiment en nous-mêmes. Si une statue semble avoir un pouvoir, il est celui que nous lui conférons. Elle devient alors, l’intermédiaire entre l’Esprit de l’entité que nous invoquons et nous.
Lors de cérémonies, comme par exemple en hindouisme, par le service à la statue et la dévotion à la divinité, il est possible de demander à cette dernière de venir provisoirement ou définitivement dans la statue qui la représente. Avec bonne grâce, elle le fait. Ainsi, la statue semble acquérir les qualités de la divinité. Mais ce n’est pas la statue qui les a, c’est la divinité elle-même.
En fait, il ne faut pas chercher à l’extérieur de soi ce qui est en soi. La divinité ne fait que représenter l’un des nombreux aspects du Divin en nous-mêmes. La statue n’est là que pour nous rappeler qui nous sommes, elle est un simple pense-bête.
Un être évolué, comme l’est le Maître Joshua, se garde bien d’utiliser le pouvoir qu’il pourrait avoir. La raison en est qu’il respecte la loi divine du libre-arbitre. Serions-nous libres si l’on nous imposait le bonheur ? En apprécierions-nous pleinement toute la saveur ? Que vaudrait notre Maîtrise si nous ne nous étions pas frottés à toutes les circonvolutions de la Vie ? Accepterions-nous de confier notre corps à un chirurgien qui n’a ni étude, ni pratique ?
La prière pétrifiée
Un texte peut devenir une statue. Comme elle, il peut être vénéré et nous pouvons lui prêter quelque pouvoir magique. C’est ce qui est arrivé aux textes bibliques et notamment aux quatre évangiles canoniques.
S’agissant d’une prière, en ne la récitant que dans l’espoir d’en tirer quelque bénéfice, nous ne faisons que de la magie. Celle-ci peut être blanche ou noire, d’ailleurs ! Admettons qu’elle soit blanche. C’est alors une œuvre blanche. Mais ce n’est absolument pas l’Œuvre-au-blanc, celle des alchimistes, des hermétistes et de la Qabbale, le passage du monde des hommes à celui des dieux que nous sommes2, correspondant au cinquième chakra.
L’œuvre blanche est de la magie, c’est vouloir être dieu à la place de Dieu ! C’est vouloir la Maîtrise sans l’avoir éprouvée ! C’est vouloir être chirurgien sans être passé par une faculté de médecine !
L’énergie de la prière
Une prière, c’est une énergie que nous condensons en nous afin de la faire monter dans les hautes sphères des mondes « vibratoirement » supérieurs, ceux de l’Esprit.
La meilleure des prières est celle que nous créons de toutes pièces dans notre cœur avec nos propres mots.
Toutefois, le Maître Joshua nous en a donné de nombreuses. Lui-même nous enseigne de nous en inspirer, mais surtout pas, de les réciter automatiquement comme des incantations magiques ou chamaniques.
Chaque prière, qu’elle soit issue de notre cœur avec nos propres mots, ou qu’elle soit inspirée d’une ancienne, doit d’abord être l’expression du cœur, elle doit venir du plus profond de notre être.
Les mantras
Et que dire des mantras ?
Prenons le plus célèbre « Om mani padme hum ». Aucun docteur bouddhiste ne concorde sur sa traduction et pour cause, cela ne se traduit pas. Car un mantra est un assemblage savant de sons afin de susciter des réactions vibratoires. Ce n’est pas une prière.
Il ne faut pas confondre un mantra et une prière. Leur fonction n’est pas la même. Il en va de même entre la prière et la méditation. Les deux actes n’ont pas la même fonction même s’ils peuvent être pratiqués ensemble, ce qui est recommandé mais pas obligatoire.
La lettre vivante
Toutes les prières qui nous sont transmises, sont toujours libres de droits. Il n’y a pas d’auteur qui compte.
Prenons celles que nous trouvons belles et adaptées à notre vie, et adaptons-les ! N’hésitons pas à les modifier, à faire vivre la lettre. Car c’est ce que souhaite le Maître Joshua et tous ses frères et sœurs qui nous guident.
Mes frères et sœurs dans le Christ. Joshua
Quelques mots sur cette catégorie « Prières »
Le partage de la Vie
Qu’elles soient du Maître Joshua ou de tout autre Maître de sagesse, voire de moi, vous avez de nombreuses prières dans ce blog. Je les ai remaniées pour certaines en fonction de mes ressentis, mes expériences, mes intuitions et des messages que je reçois. En cas de remaniement, j’ai retranscrit la version qui s’est présentée à moi, et les ouvrages de référence si possible.
Cela nous permet de comparer et d’entamer une réflexion, voire mieux encore, une méditation qui nous permet d’aller toujours plus profond.
Quelle est la limite de cette profondeur ? Aucune ! Car Dieu est à la fois l’Un fini et l’Infini. La Vérité au sens le plus strict est infiniment en perpétuelle expansion. Ainsi, une prière doit vivre, se développer, aller bien au-delà du sens que nous lui donnons.
Comment prier
Lorsque nous prions notre Père, ou notre Mère, ou bien encore Père-Mère ou Mère-Père, nous ne prions pas un père ou une mère qui serait avec nous dans ce monde terrestre. Ces derniers sont ou ont été nos parents biologiques, des âmes en devenir comme nous qui ont eu elles-mêmes des parents biologiques, nos grands-parents…
Nous ne prions pas, ou du moins ne devrions pas, un père et une mère subtils qui seraient dans l’Au-delà, au-delà du voile, et que nous assimilerions à Dieu dans ses principes masculin et féminin. Certes, c’est déjà mieux qu’auparavant, mais c’est inexact. Il s’agit là d’une attitude infantile digne de la représentation de Dieu dans la chapelle Sixtine à Rome.
Lorsque nous prions notre Père, mieux encore, Père-Mère, nous prions le principe divin masculin et le principe divin féminin, ensemble dans l’Unité divine, au sein du Sein, au Cœur de notre cœur, en nous-mêmes. Nous nous relions à notre Esprit, au-delà du Noûs, au-delà de notre huitième chakra, Tekla. Donc, il est inutile de Le voir comme un personnage. Il est la Présence immanente, l’étincelle divine qui persiste en nous quoiqu’il arrive…
Mes frères et sœurs dans le Christ. Shani
Pages liées
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Dieu est hermaphrodite
Le chemin du vrai et de l’Amour
Étudier la Qabbale
Vierge-Marie / Myriam-la-Colombe
https://www.lesfleursdelesprit.net/p/vierge-marie-myriam-la-colombe.html
https://www.lesfleursdelesprit.net/p/vierge-marie-myriam-la-colombe.html
1 « Le livre secret de Jeshua ; tome 1 » de Daniel Meurois aux éditions « Le Passe-Monde »
2 Lire la page « Les trois Œuvres » : http://www.lesfleursdelesprit.net/p/les-trois.html
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