Le mensonge, mentir conduit à notre souffrance
Il y a trois sortes de mensonges :
1. Par l’affirmation d’autre chose de ce qui est ;
2. Par la déformation de ce qui est ;
3. Par l’omission de ce qui est.
Pourquoi ne faut-il pas mentir quand on est sur son chemin spirituel ?
Tout langage est une vibration, qu’il soit écrit, oral, corporel ou autre dont l’argent. Une communication basée sur la vérité, est haute, alors que celle basée sur le mensonge est basse. Cette dernière n’a de but que la manipulation et de rabaisser pour exploiter. Elle est basse parce qu’elle est inverse à la Lumière divine qui symbolise la vérité. Ne sommes-nous pas en la Lumière-inversée, c’est-à-dire, la Force-ombreuse que les chrétiens affublent de noms tels que diable, satan, démon, etc. ?
Chaque être humain a une vibration de base. Plus celle-ci est élevée, plus il est proche de la Lumière-divine véritable, ainsi donc de la Maîtrise, du Samâdhi[1]. Cette vibration de base n’est pas fixe quoiqu’elle évolue lentement. Elle est en résonnance avec son entourage.
À chaque fois que nous mentons, nous tirons vers le bas la vibration de base de notre interlocuteur. C’est un crime devant le Divin, et en niant ainsi la Lumière-divine, nous renforçons le satanisme qui est au pouvoir dans nos pays occidentaux. Un mensonge est un crime contre l’humanité, aussi petit et insignifiant soit-il ! Par cette participation, nous nous mettons sous la coupe de ce satanisme et nous nous vendons au diable[2]. Ensuite, avant même le décès du corps-physique, après lequel il y a la descente en enfer[3], il y a le retour de bâton, l’effet boumerang, le karma que nous avons activé en mentant.
Alors qu’en restant parfaitement sincère, en disant la réalité telle qu’elle est, la vérité, même si cela crée sur le moment une situation des plus désagréables, nous augmentons les vibrations de notre interlocuteur, ainsi que les nôtres. Tout le monde est gagnant, participant à la progression spirituelle de notre interlocuteur, et a fortiori, la nôtre.
Il est toujours mieux de se diriger vers la Lumière-divine que vers la fausse, la lumière-inversée. Nous nous rapprochons ainsi de notre Maîtrise, du samâdhi, c’est-à-dire de notre libération du samsara[4].
Shaniji, dimanche 26 mars 2023
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[1] C’est la fusion de l’âme avec le Divin, ou aussi, de notre Jîvâtma avec Paramâtma. Elle peut avoir lieu avant ou après le décès du corps-physique. Dans les littératures juives, chrétiennes et musulmanes, c’est la description de l’enlèvement du saint par les Nuées du Ciel.
[2] Voir la légende de Faust
[3] L’enfer tel que décrit dans les religions du Livre, n’existe pas. Par contre, il y a le bas-astral qui est son équivalent, et il est très difficile d’en sortir. Il faut parfois plusieurs millénaires. Ceux qui sont prisonniers de ce bas-astral sont dans de très grandes souffrances.
[4] Il s’agit du cycle des existences successives, impliquant le karma. La vie sur Terre étant nettement moins enviable que celle dans les plans supérieurs de l’astral, les mondes de l’Au-delà, le but de toute vie est de se libérer de ce cycle afin de connaître le véritable bonheur divin, la vie éternelle, le nirvâna, la Maîtrise, le samâdhi.